Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 14:22

Voici la première critique de mon premier film Histoire(s) de jazz : le Hot club de Lyon (2011) publiée par Franck Bergerot, rédacteur en chef de Jazz Magazine et auteur de nombreux ouvrages sur le jazz : Miles Davis (Le Seuil) et Le jazz dans tous ses états (Larousse). Je souhaitais vous la faire partager.
Il arrive que parfois, lorsqu'on regarde un documentaire, on aimerait qu'il corresponde à ce qu'on en attend. Monsieur Bergerot ne mâche pas ses mots, même s'il n'a pas complètement tort sur tout. Je rappelle que c'était mon premier film et qu'il m'a permis de découvrir le jazz. Je n'avais aucunement la prétention de faire la chronologie du club ni de noyer les spectateurs dans un flot de noms de musiciens. Je voulais ce film vivant, pris sur le vif, tout simplement, et le faire partager aussi à des gens qui ne connaissaient rien au jazz, comme moi à cette époque-là. Ce qui me gêne dans le milieu du jazz, c'est ce flot de noms, de dates, d'érudition, de démonstration.


Le jazz, à mon sens, et même si je n'en suis pas une spécialiste, ce n'est pas ça. C'est avant tout des rencontres, des moments de vie partagées, de complicité, d'amour.

 

Image-1-copie-1.png

"À propos de souvenirs de Michel Perez évoquant le Hot Club de Lyon, j’annonçais dans mon blog du 19 février dernier la sortie du film d’Émilie Souillot Histoire(s) de jazz : le Hot Club de Lyon. Qu’une jeune femme dans le milieu de sa vingtaine, encore en master 2 en cinéma, se lance dans la réalisation d’un film sur le jazz, qui plus est sur l’histoire d’un club d’une grande ville de province, méritait d’être salué et signalé à nos lecteurs. Un film sur la mémoire nous est-il précisé avant que ne commence la projection privée à laquelle nous étions invités ce matin 23 mars au studio Galande. Entrée en matière poétique, errance d’une jeune femme (la réalisatrice ?) dans les rues de Lyon jusqu’aux portes du Hot Club où elle descend. Un orchestre joue… Puis commence la ronde des témoignages entrecoupée de scènes musicales.

On a bien compris la difficulté à laquelle s’est heurtée Emilie Souillot dans son projet de retracer la mémoire de ce club de jazz âgé de 60 ans : l’absence d’archives filmées. Et pour un premier film, le pari n’était pas des moindres. Il n’en reste pas moins que tous ces gens qui sont invités à parler – fidèles, membres actifs, présidents, musiciens – ne nous font pas tellement partager leur aventure. Leurs propos décousus sont jetés à la fourche sur l’écran, sans effort d’une géographie, d’une chronologie, d’un panorama esthétique. À peine sait-on qui parle ? Et lorsque l’on nous montre Jean-Louis Billoud écoutant un morceau, on oublie de nous rappeler qu’il est contrebassiste, peut-être même le contrebassiste, voire le compositeur ou le chef d’orchestre, du morceau qu’il écoute. Le plus étonnant, c’est que, à part quelques anecdotes, aucun de ces témoins n’arrive à nous parler des musiques et des musiciens qu’ils ont entendus là. Comme si ces musiques n’avaient pas d’histoire, l’Histoire du jazz au Hot Club de Lyon se résumant à une succession d’adresses, de présidents et de membres actifs.

Quant aux jeunes musiciens que l’on aperçoit de temps à autre à l’écran, on ne découvrira leurs noms qu’au générique, et encore, sans mention de leurs instruments. Comme s’ils étaient de simples figurants. Or, le Hot Club de Lyon, ce sont eux aujourd’hui, comme ce fut autrefois Jean-Louis Billoud et bien d’autres. Qu’Émilie Souillot se soit laissée attendrir par les souvenirs de ces papys du swing est bien légitime, mais elle ne pouvait s’en tenir là. Jean-Louis Billoud et ses amis n'ont pas que des souvenirs. Ils ont un héritage qu'ils ont légué à une descendance. Sauf à donner de Lyon la réputation d’une ville morte au jazz ou à détourner les amateurs de jazz du Hot Club pour les faire fuir vers le Périscope, le club qui monte à Lyon ces dernières années. Car Lyon est l’une des villes les plus actives dans le domaine du jazz en France, une activité que le Hot Club partage avec d'autres acteurs (de l'historique Arfi au jeune Grolektif), une vitalité qui est née au Hot Club, mais qui doit aussi au travail de l'ARFI ou à l'enseignement de Jean Cohen à Villeurbanne. Elle repose aujourd'hui sur de nombreux échanges avec toute la vallée du Rhône et toute la région Rhône-Alpes, de Mâcon à Montpellier, de Grenoble à Marseille. Les programmes du Hot Club, comme ceux du Périscope, se nourrissent de ces échanges qui remontent jusqu’à la Basse Normandie à travers le Crescent de Mâcon ou jusqu’à la classe de jazz du Conservatoire national de Paris dont on reconnaissait à l’écran l’un des étudiants actuels, le saxophoniste John Boutelier, fils de Jean-Paul, patron de Jazz à Vienne à trente kilomètres au sud (il est curieux que ne soit pas évoqué cette proximité-là, ni d'autres, comme si le Hot Club avait vécu coupé du monde, ce que laisse à penser le film).

Bref, faire un film n’est pas une mince affaire, et celui-ci nous paraît être une occasion ratée. Restent des images souvenirs qui ne parleront qu’aux habitués du Hot Club, voire à ses seuls membres actifs. Savoir que ce film sera projeté lors du colloque Histoire du jazz en France organisé à Lyon par Philippe Glumpowicz du 23 au 25 mars me fait froid dans le dos."

 

Franck Bergerot (publiée dans Jazz Magazine, en avril 2011).

 

*Photo (Philippe Roche, guitariste), tirée du film Histoire(s) de Jazz : le Hot Club de Lyon

Partager cet article
Repost0
31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 18:30

"Les artistes figurent parmi les personnes les plus persévérantes et courageuses que l’on puisse trouver sur terre. En une année, ils vivent plus de situations difficiles et d’échecs que la plupart des gens dans toute une vie. Chaque jour, les artistes font face au défi financier d’être un travailleur autonome, au manque de respect, à l’incompréhension des gens qui pensent qu’ils devraient trouver un « vrai job », affronter leur propre peur de ne jamais plus travailler à nouveau. Chaque jour, ils doivent ignorer et dépasser l’idée que ce à quoi ils consacrent leur vie est peut-être une chimère. Chaque année qui passe, nombre d’entre eux regardent les personnes de leur âge franchir les étapes d’une vie normale : voiture, famille, maison et épargne. Mais ils restent fidèles à leurs rêves en dépit des sacrifices consentis. Pourquoi ?

Parce que les artistes sont prêts à dédier leur vie entière pour faire naitre ce moment – ce trait, ce rire, ce geste ou cette interprétation - qui touchera l’âme du public. Les artistes sont des êtres qui ont goûté au nectar de la vie, dans cet instant cristallisé où leurs créations ont touché le cœur de l’autre. A cet instant-là, ils sont si proches de la magie, du divin, de la perfection, comme personne ne le sera jamais. Et au plus profond de leur cœur, ils savent que dédier leur vie à faire naitre ce moment vaut plus que mille vies."

David ACKERT.

Partager cet article
Repost0
6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 15:30

Social Net Club est une émission 100% lyonnaise visible sur le web, crée par Frédéric Viallet et Frank Presti fin 2013. Le concept : chaque mois une émission sur un thème enregistrée au Bario Club dans la gare des Brotteaux. Ce mois-ci : le Jazz à Lyon.

Je fus l'invitée de cette table pas tout à fait ronde pour parler de mon film Histoire(s) de Jazz : le Hot Club de Lyon. Faites chauffer le chocolat ou le café, installez-vous dans votre fauteuil et dégustez cette émission rare où la parole est laissée aux invités.

Le concept de cette émission nous rappelle l'époque de Radioscopie avec Jacques Chancel, avec une pointe de Discorama avec Denise Glaser. Mais comment rendre visible une émission de 40 min sur le net à l'heure où les formats courts pululent sur le web ? C'est plus qu'un défi que Frank Presti et Frédéric Viallet souhaitent relever. C'est un état d'esprit. A l'heure où le monde tourne trop vite, cette émission nous renvoie à un temps d'avant où l'on s'asseyait avec notre chocolat chaud pour participer à une table ronde à la radio. "Prendre le temps", mais qu'est-ce que c'est que ça ? une vieille expression française ? non. Une résistance. Le temps s'arrête pendant un court instant. Prendre le temps pour des histoires, comme celles de M.Jean-Paul Bouteiller le créateur du festival Jazz à Vienne, qui raconte qu'il voulait que le festival soit à Fourvière à Lyon mais que cela n'a pas pu être possible...

Invités de l'émission : Jean-Paul Boutellier (Jazz à Vienne) Gérard Vidon (Hot Club), Jean Méreu (musicien ARFI), Thierry Serrano et Charlène Mercier (A Vaulx Jazz), Frédéric Bruckert (Le Progrès), Gérard Amsellem (Photographe), Robert Lapassade (journaliste), Lionel Martin (musicien), Emilie Souillot (Réalisatrice), Pierre Dugelay (Le Périscope), Ludovic Chazalon (Festivak Rhino-jazz).

Frank Presti : directeur de Saison 4TV et animateur de l'émission Social net Club, journaliste.

Frédéric Viallet : directeur communication du Festival Jazz à Vienne de 1999 à 2006 aux côtés de Jean-Paul Bouteiller, également créateur du Festival Fiesta Latina à Vienne.

Chaîne Youtube de Social Net Club pour voir les émissions intégrales et les reportages.

Partager cet article
Repost0
9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 00:22

tumblr mjpdpeBCiw1s8z643o1 1280

Il attendait patiemment, depuis quelques temps, de sortir de son œuf, le petit ornithorynque...


L'association Eclore vient de naître juste avant le printemps. Elle a pour idéal de soutenir la création artistique. Elle propose de réaliser vos clips musicaux, des captations de spectacle à plusieurs caméras, des présentations de vos expositions/festivals et de tout ce qui gravite autour de la culture ; elle souhaite également partager avec les scolaires (et tout autre lieux culturels) l'outil cinéma par le biais d'atelier afin de s'inscrire dans une démarche de transmission.
Eclore s'adapte à chaque projet.

C'est aussi la réalisation et diffusion de films documentaires comme le film Une Rencontre, Pockemon Crew + Emelthée réalisé par Jérémy Zucchi mais aussi les films Histoire(s) de Jazz : le Hot Club de Lyon et La Force de Résister (co-réalisé avec Christelle Thomassin).

J'interviens dans cette association en tant que réalisatrice, monteuse, et photographe. Je vous invite donc à visiter le site de l'association:


Pour suivre l'actualité de ECLORE :
Le compte Twitter : http://twitter.com/eclorecreations
La page Facebook : http://www.facebook.com/pages/Eclore/455053667900476
La chaîne Vimeo qui regroupe toutes les vidéos : http://vimeo.com/channels/creationseclore

Et, pour ceux et celles qui ne sont pas des adeptes de Twitter ou de Facebook, le mieux c'est de consulter le blog Tumblr où toutes les nouvelles créations d'ECLORE, les actus et les articles des blogs cinéma et musique à venir seront regroupés : http://eclorecreations.tumblr.com/

 

*Logo Eclore réalisé par Jérémy Zucchi.

.
Partager cet article
Repost0
9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 00:06

Sortie Cinéma

Capture d’écran 2013-04-09 à 01.14.44

 

 

 

Le lundi 27 mai 2013 aura lieu la projection du film  La Force de Résister au cinéma Le Majestic à Digoin : une séance l'après-midi pour les scolaires et une séance le soir ouverte au public. Si vous passer par là, n'hésitez pas à venir. A la fin du film, il y aura un débat en présence de l'équipe du film et de membres de l'association AFMD du Rhône (Association des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Photo - Stéphane Hessel, image tirée du film.

Partager cet article
Repost0
6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 12:19

Stéphane Hessel : un poète

 

Stéphane Hessel nous a quitté à l'âge de 95 ans le 27 février 2013. Nous sommes le 6 mars, je vais bientôt avoir 28 ans et si j'avais la chance d'être encore vivante à son âge, il me resterai donc 67 années à vivre. Je fais le souhait de réaliser des projets qui pourront changer le monde, ou du moins l'améliorer.

J'ai eu envie de lui rendre hommage de manière spontanée et remplie d'espoir. J'aimerai vous faire partager un moment que nous avons passé avec Stéphane Hessel  lors de sa venue à l'école Anatole France à Vaulx-en-Velin le 15 mars 2010, le jour de l'anniversaire de l'adoption du Conseil National de la Résistance. Cette rencontre fut organisée par l'AFMD du Rhône (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation).

 

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 00:30

"Ecouter, c'est tenter de trouver la naïveté, la fraîcheur, l'enfance de l'oreille." Extrait de La Partition intérieure, Jazz, musiques improvisées de Jacques Siron, Editions OUtre Mesure ("Collection "Théories"), Paris, 1992.

Partager cet article
Repost0
18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 14:27

affiche-La-Force-de-Resister.jpg   Comme vous le savez, le film documentaire La Force de Résister (1h25min - 2012) produit par notre association l'AFMD (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation) et réalisé par Emilie Souillot et Christelle Thomassin intitulé La Force de Résister vient de sortir en DVD. Nous l'avons projeté lundi 17 décembre 2012 au cinéma les Amphis de Vaulx en Velin autour d'un hommage à notre ami Marcel Roche, qui a rassemblé une centaine de personnes.
   Ce film témoigne d'un travail autour de la mémoire de la résistance et de la déportation entreprit par des écoliers et collégiens de Vaulx en Velin, Villeurbanne et de la Croix Rousse au cours de l'année 2009-2010. Et nous invite à réfléchir sur les questions suivantes : comment la mémoire peut-elle se transmettre  ? comment va-t-elle se transmettre ? Que va t-il se passer une fois que nos témoins de la seconde Guerre mondiale auront disparus ? Oublierons-nous cette époque comme la guerre de 14-19 ? Si nous oublions, nous participons à cette horreur de la barbarie nazie, qui reviendra sous une autre forme, s’immiscer dans nos vies et nous détruire de nouveau.
   Nous, jeunes générations, ne le souhaitons pas. Comme l'ont dit les jeunes du collège de Maurice Sève lundi soir, nous avons la chance de connaître des témoins qui nous racontent directement ce qu'ils ont vécu. Mais cette chance ne sera pas permise à la génération suivante. La rencontre avec Marcel Roche (résistant déporté à Dachau) et Maurice Luya (résistant déporté à Buchenwald) est déterminante pour notre avenir. Ils nous transmettent leur force de combattre la bêtise, l'injustice, les inégalités sociales, la pauvreté, et de comprendre le mot solidarité et liberté.Nous souhaitons avec ce film, poursuivre le chemin de la transmission, en permettant à d'autres jeunes et professeurs (mais aussi toutes autres personnes) de comprendre l'impact considérable qu'ont les témoins encore vivants sur nous, notre avenir.


  On lance un appel à tous les membres de l'AFMD et à tous ceux qui pourraient nous aider. Que tous prennent une part active  à la transmission de ce film. Si vous connaissez des cinémas proches de chez vous, des écoles, des espaces culturels, des MJC, des salles de quartiers, des appartements, tous les lieux sont possibles du moment où il y a quelques personnes pour visionner le film et discuter, échanger après la projection. A nous de porter le flambeau, à nous d'apporter notre petite pierre à ce grand édifice instable qu'est la mémoire.

  Pour toutes propositions, merci de laisser un message sur ce blog ou auprès de l'AFMD (Roland Beaulaygue notre président roland.beaulaygue@wanadoo.fr).

Le film est disponible en DVD au prix de 15€. Vous pouvez le retrouver à la librairie "Terre des Livres", 86 rue de Marseille 69007 Lyon ou passer commander directement via le mail du président de l'AFMD ci-dessus. Le DVD comporte des scènes supplémentaires d'une durée de 40 minutes.

 

*Affiche du film et jaquette du DVD réalisés par Jérémy Zucchi.

Partager cet article
Repost0
11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 16:45

Lundi 17 décembre à 20h, nous projetons le film documentaire La Force de Résister (1h26min) réalisé par Emilie Souillot et Christelle Thomassin, produit par l'AFMD (les Amis de la Fondation pour la mémoire de la Déportation). Avec Stéphane Hessel, Marie-José Chombart de Lauwe, Simone Grandjean, Marcel Roche, Maurice Luya, Hans Coppi, Anne Sizaire, Valérie Bellencontre... en présence des témoins et de l'équipe du film.

Capture-d-ecran-2012-12-11-a-12.44.39.png

La projection sera suivi d'un débat. La projection aura lieu au cinéma Les Amphis, rue Pierre Côt à Vaulx-en-Velin. Entrée gratuite. Buffet, buvette, vente de livres sur la thématique, vente du DVD du film.

La force de Résister restitue, à sa manière, les chemins parcourus en France et en Allemagne, durant l’année 2009-2010, par des élèves de primaire et de collège, de Lyon et ses proches banlieues, de Lyon, de Vaulx-en-Velin et de Villeurbanne à l’initiative des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation – délégation du Rhône. La force de Résister rend hommage à la résistance française et allemande durant les années sombres de l’Europe alors sous le joug du régime nazi. Des chemins douloureux de Ravensbrück aux valeurs fraternelles de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et du citoyen…

Pour visionner la bande-annonce : http://vimeo.com/35791726

Nous rendrons hommage à partir de 18h à notre ami Marcel Roche qui nous a quitté il y a peu. Il y aura des lectures de poèmes, de textes, des images d'archives filmées...

Cette soirée est organisée par l'AFMD du Rhône, la FNDIRP de Décines/Meyzieu/Vaulx-en-

Velin, le Monde Réel, et les éclaireuses et éclaireurs de France de Villeurbanne.

Venez nombreux, et n'hésitez pas à faire passer ce mail à collègues, amis, et proches qui pourraient être intéressés par cette soirée.
Partager cet article
Repost0
5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 14:42

"Amis curieux, amis musiciens,
poètes, écrivains, amis chanteurs,
venez nombreux découvrir ou re-découvrir " :

Affiche-Soirée-Histoire-de-jazz-500px 

Histoire(s) de Jazz : le Hot Club de Lyon, un film documentaire que j'ai réalisé, (sorti en salle nationale en 2011, disponible en DVD chez Visiosfeir) suivi d'un concert du Big Band de la Tour de Salvagny le samedi 24 novembre 2012 à 20h30.

Cette soirée a lieu dans la salle de spectacle de l’école de musique de la Tour de Salvagny (derrière la mairie).

Une buvette à l'entr'act pourra vous rafraîchir pour une soirée très jazzhot...

Déroulement de la soirée :

20h30 : présentation de la soirée
20h45 : projection du film
21h45 : entr'act avec buvette 
22h15 : concert du Bigband
23h00 : Fin

Droits d'entrées projection + concert : 10€ adulte, 5€ 18-12 ans et étudiants/gratuit pour les - de 12 ans.



Pour en savoir plus sur le film, je vous invite à découvrir ou redécouvrir ces articles :

La bande-annonce du film
Tournage et montage : quelle conception ?
Le journal de bord du film

A très bientôt...


Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Histoire(s) de Jazz - Emilie Souillot, réalisatrice
  • : Le blog de la collection "Histoire(s) de Jazz", films documentaires réalisés par Emilie Souillot. Le premier est dédié au Hot Club de Lyon, et le second sera consacré au trompettiste Roger Guérin.
  • Contact

Profil

  • Emilie Souillot
  • Réalisatrice de films documentaires qui ont pour sujet la transmission, la mémoire et la musique.
  • Réalisatrice de films documentaires qui ont pour sujet la transmission, la mémoire et la musique.

Les films de la collection Histoire(s) de Jazz
Bandes-annonces et extraits des films
La création des films au jour le jour
Histoires du jazz : mes recherches
boutons-accueil-retour

Recherche

Le Hot Club de Lyon

DVD du film Histoire (s) de Jazz, Le Hot Club de Lyon d'Emilie Souillot
C’est une histoire d’amour, c’est une histoire de jazz...
Racontée, jouée, belle et vivante...

Ce premier film de la collection Histoire(s) de Jazz est consacré au Hot Club de Lyon, fondé il y a plus de 60 ans. Réalisé et monté par Emilie Souillot en 2010, il dure 52 minutes.

Découvrez-le ici

NOn au barrage Belo Monte

"C'est seulement lorsque l'homme blanc aura détruit la forêt entière, lorsqu'il aura tué tous les poissons et tous les animaux et aura asséché toutes les rivières qu'il s'apercevra que personne ne peut manger l'argent." Raoni, chef de la tribu des Kayapos.

Malgré tous les efforts de Raoni et du soutien de tous, rien n'empêchera la construction du barrage Belo Monte en Amazonie Brésilienne, le 3ème plus gros au monde, qui va tuer plusieurs espèces animales, continuer d'abîmer la forêt amazonienne et faire déplacer des milliers de populations indigènes qui savent encore vivre avec la nature et sans avoir besoin d'argent. Le 1er juin 2011, le feu vert a été donné pour sa construction mais on peut encore faire quelque chose, continuer d'encourager tous les efforts de ces peuples qui ne veulent pas perdre leur tradition, qui veulent vivre en harmonie avec la nature encore longtemps. Signez la pétition, afin que nos idées et nos soutiens puissent encore vouloir dire quelque chose dans un monde qui devient sourd.

Signer la pétition contre le projet Belo Monte

Pour la lire c'est ici

Image 7-copie-1

DANS CE BLOG...

...vous trouverez des éléments sur mes films (articles, photos, archives, mes trouvailles...) et des éléments sur le jazz. Ce sera l'occasion aussi de parler cinéma et surtout de court-métrage afin d'encourager ce format oublié des salle.

les-lutins-du-court-metrage-2006

Graphisme par Jérémy Zucchi, visitez son site